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Lundi le 20 juillet 2020 le gouvernement haïtien a mis fin à l’état d’urgence du pays.

Dès le 6 juillet 2020 le fonctionnement des usines textiles et des autres fabriques est repris complétement. Dès le 12 juillet 2020 les services religieux sont renoués, les liturgies et d’autres cérémonies ecclésiastiques sont permises. Et dès le 10 août 2020 même les cours d’école seront repris. Pendant quatre mois, lorsque le pays était paralysé par la propagation du coronavirus, l’inflation de monnaie a augmenté de 23 %. Il y avait le manque d’aliments et de l’essence (par exemple dans la ville de Cap-Haïtien les éboueurs ont cessé transporter les ordures car ils n’avaient plus d’essence). D’après les avis actuels du département humanitaire de l’ONU OCHA, 47 % de la population a besoin de l’aide humanitaire.

Nos partenaires ont non seulement informé ses voisins de la maladie et comment se protéger, ils leur ont même distribué de plats et de produits protectifs et désinfectants. Ils-mêmes ont cousu des masques pour les enfants et les adultes. Et ils se sont occupés de ceux qui n’en pouvaient pas faire pendant la situation actuelle. À Gonaïves, le nombre de gens informés s’est élevé à 62 500, le nombre de plats pour les familles des écoliers à 740 et à 285 des autres familles, et de masques, de solutions hydroalcooliques et d’autre matériel ont été distribués aux 3 280 familles.

Et tout cela uniquement grâce aux donateurs de République tchèque. « Notre reconnaissance sincère appartient à tous nos donateurs formidables pour leur soutien généreux de l’aide aux pauvres pendant ces temps difficiles, » écrit Sœur Margaret, la directrice de l’école Emmaus Saint Joseph.

Lada Matyášová, Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc