Haïti– La situation au ce pays insulaire est pire et pire chaque jour. En plus il souffre de la sécheresse et de la manque immense de l’eau. Les gens (particulièrement ceux dans les régions éloignés) souffrent de la manque des aliments fondamentals, des médicaments, de l’essence et de la livraison d’électricité. Les écoles et aussi quelques hôpitaux sont fermés. À partir de septembre 42 gens ont perdu la vie déjà (parmi eux par exemple un journaliste connu – Joseph Néhémie). Et ce sont seulement des chiffres officieux. Aussi les autres ville luttent contre la violence.

Les Haïtiens réclament la démission de président Jovenel Moïse. Son mandat devrait clôturer jusqu’en 2020. Ils le accusent de la corruption. Lui, il refuse toutes ces accusations bien que son gouvernement faisse face à la critique de la côté du public et aussi des fournisseurs d’énergie électrique. Tous signalent des dettes non payées (123 millions USD). Lundi le 4 novembre les juges qui évalueront le cas de président Moïse ont été choisis. Un d’eux sera choisi comme le président provisoire de gouvernement temporaire par la majorité absolue des votes de sénat.

Néanmoins les manifestations et les barricades restent toujours à l’ordre du jour devant la palais de président à la capitale Port-au-Prince. Une des activités curieuses de manifestants était par exemple le cercueil vide avec le nom de président brûlé devant le cimetière dans un village nommé Carrefour vendredi le 1^er novembre. Apès trois jours aussi la manifestations des représentants de la communauté vivant à New York supporte cette pensée de la suspension du président. Cette communauté compte presque 100 000 de gens qui sont sortis dans les rues de Brooklyn.

Les difficultés civiles et aussi économique causent le taux des réfugiés le plus haut depuis la fin d l’époque de la colonisation. Les centaines de Haïtiens passent la frontière à la République Dominicaine voisine illégalement. Néanmoins ils font face à la résistance immense des locals là et ils sont dizaine par dizaine redéporté en leur propre pays.

L’espoir ne faiblit pas pour ceux qui voudraient quitter le pays légalement. Le Président Donald Trump a allongé la durée des résidences de travail pour les Haïtiens aux États-Unis jusqu’à le 4 janvier 2021. L’Ambassade brésilienne en revanche offre la possibilité d’obtenir le visa pour 80 000 des Haïtiens.

On prospére gérer la situation exaspérée grâce à l’aide humanitaire, par exemple par la livraison de 2000 tonnes des aliments. Les project de l’aide de développement font des progrès dnas le pays, ils s’occupent par exemple par le problème des plastiques ou de la pollution des sources d’eau.

Lada Matyášová, Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc

Source : Haiti libre