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Olomouc– La salle de la bibliothèque « Vědecká knihovna » était trop pleine hier. Les visiteurs ont appris comment les gens vivent en Haïti de Klára Lőffelmannová qui aidait aux Caraïbes avec la Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc. Aussi le directeur du département humanitaire Martin Zamazal nous a raconté vers quelle direction ce pays chemine après le tremblement de terre destructeur de l’année 2010. La présentation avec la projection a été terminée par le grand nombre des questions des observateurs.

Les visiteurs de la conférence ont appris les petits fragments de l’histoire d’Haïti. Haïti signifie « le pays montagneux » en créole. Néanmoins les colonisateurs français ont presque déforesté cette ancienne perle de Caraïbes. Il n’y a presque personne qui a survécu des habitants d’origine et c’est pourquoi les colonisateurs ont amené les Africains asservis aux bateaux. « Le Haïti est le premier pays dans le monde où les esclaves se sont révoltés contre leurs maîtres. Un d’eux est devenu à être à la tête, mais plus tard il est aussi devenu le dictateur cruel, » la ancienne travailleuse humanitaire de la Caritas Klára Lőffelmannová a raconté.  

Elle aidait en rase campagne en Haïti trois fois. Pour la 1ère fois elle est arrivée là juste quelques jours après l’hurricane Matthew. Elle a traversé le tremblement de terre pendant son dernier voyage. « L’épicentre était au nord du pays dans la mer, néanmoins nous avons senti des secousses sensiblement. Et après elles se sont répétées. Comme ça on ne pouvait pas dormir, on ne savait pas si il aura besoin de courir rapidement dehors le bâtiment dans le courant de la nuit, » Klára a continué. Elle a mentioné le fait que aux écoles lesquelles sont supportées par la Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc et ses donateurs tchèques les enseignants ont donné les instructions aux enfants comment se comporter dans cette situation. Il faut fuir dehors le bâtiment et si il n’y a pas assez de temps pour ça, il faut se placer vers le pilier qui maintient les murs.

La conférence a aussi expliqué le problème des ordures, de la manque du bois, de l’eau et du repas. Le mode de la vie laquelle les haïtiens mènent peut aussi être la cause de leurs maladies variées et difficultés de santé. Le gouvernement ne fonctionne pas, il ne protège pas ses habitants. Le système presque n’existe pas dans le pays.

„On ne peut pas remplacer le gouvernement, on peut seulement aider là, où c’est possible, » ajoute Martin Zamazal de la Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc, qui a travaillé en Haïti même après le tremblement de terre destructeur en 2010. Les rues étaient pleines des ruines et des morts et blessés. Les camps de tentes immenses ont été fondés. À cette époque-là la Caritas a assuré aux gens des toiles, des abris divers, de l’eau potable, du repas et des objets hygiéniques….

Karolína Opatřilová, la Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc