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Haïti, Olomouc– Les ruines de bâtiments, les morts, la manque de l’eau, de l’aliments et de l’assistance médicale, les gens qui passent la nuit dans les rues… C’est une image d’Haïti avant 10 ans. Mardi le 12 janvier 2010 peu de temps avant 17 heures de temps local le pays insulaire en Caraïbes a été frappé par le tremblement de terre destructeur de magnitude 7,0 Mw (la magnitude équivalente comme la force de 38 bombes atomiques précipitées à Hirošima). Pendant la moitié de minute simple 250 000 gens sont morts et le million et demie d’autres ont perdu leur toit. Peu de temps après l’épidémie de choléra s’est déclarée. À cette époque-là la Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc aidait directement en Haïti et elle travaille là jusqu’à aujourd’hui. Actuellement les émeutes et les ravages de gangs dévastent ce pays. D’après ONU la crise alimentaire est aussi arrivée.

La Caritas présentera la vie colorée mais aussi dure des Haïtiens par l’exposition des photos de grand format de Jiří Pasz dans la bibliothèque « Vědecká knihovna » à Olomouc (à partir de 3 jusqu’à 28 février). L’exposition sera inaugurée par le vernissage le 3 février à 17 heures. Une conférence sur la vie en Haïti aura lieu le 19 février à 17 heures dans une bibliothèque.

Avant 10 ans – ruines et chaos

La cour de la Caritas Haïti est couverte de tentes, les employés courent ça et là avec les papiers et les téléphones portables. Le problème avec l’electricité, l’Internet, le réseau téléphonique, la manque de pétrole et les rues impassables. Il y a 2 travailleurs de la Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc qui aident sur place, Martin Zamazal est un d’eux. « Les gens ont perdu tout pendant une minute. Ceux qui ont survécu restent hors leurs habitations sinistrées à cause de la question de sécurité. Ils avaient besoin d’eau, d‘aliments, d‘abri et d’information. C’est pourquioi on s’est concetré sur la distribution de l’eau, des paquets alimentaires et hygiéniques, des toiles et des tentes pendant les premiers jours et semaines. On a repris l’aide humanitaire de tout le monde pendats cettes premières semaines. Elle est arrivée à la capitale à l’aéroport sinistré, par la mer aux navires combatifs mexicains ou par terre par le flot des camions de la République Dominicaine, » Martin Zamazal se souvient.

Photo: Martin Strouhal

Le chaos régne partout, les autres gens meurent à la suite de leurs blessures, parce que quelques hôpitaux sont sinistrés ou détruits, il y a une manque de médecins et de matériel médical. Il y a 300 000 blessés. La saison des pluies complique l’aide humanitaire, les routes sont boueuses et impassables. La terre tremble encore, les gens se couchent dans les rues. Plus tard la Caritas fonde plusieurs projets de longue durée en Haïti pour aider à la rénovation des communautés, par exemple le renouvellement d’agriculture, la construction des toits résistants etc.

Présent- ravages de gangs et crise alimentaire

Bien qu’ après le tremblement de terre Haïti soit dans le centre de l’intérêt et l’aide financière se dirige vers ce pays aux sommes immenses (les milliards de dollars), il reste classé parmi les pays dévastés. Les occasions sont restées inexploitées. La corruption et la misère régne là. Les gens manquent de l’aliments et du carburant. Quelques groupes d’eux prennent la justice en mains. Les protestations contre le gouvernement corrompu se transforment en violence. L’année dernière à cause de danger les Haïtiens ont fermé les écoles dans les grandes villes. « Au début de décembre on a reouvert l’école à Gonaïves, néanmoins seulements les élèves de septième et huitième année sont arrivés. Les parents ont peur de laisser partir leurs enfants plus jeunes dans les rues pleines de gangs armés, » dit sa directrice la soeur Margaret. Espérons que l’école sera reouvert pendent le janvier.

En revanche plus de 70 mères avec leurs enfants fréquentent au centre nutritif. Ici elles obtiennent du repas et aussi du lait. « Elles sont heureuse qu’elles peuvent être ensemble quelque part et aussi se sentir en sécurité, » ajoute la soeur Margaret. Le centre est plus utile particulièrement maintenant – au temps de la crise alimentaire.

Malgré les émeutes un atelier à coudre à Gonaïves toujours fontionne depuis 2018. À cette époque-là la Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc a envoyé en Haïti les machines à coudre à pédales par « Le Conteneur pour Haïti ». « Dans la classe des novices 12 mères apprennent à coudre. Dans la classe des avancés il y a même 15 couturières, lesquelles ont obtenu leurs dîplomes déjà. Maintenant elles attendent quand le temps plus favorable pour travailler dans une usine textile pas trop éloignée arrivera, » dit la coordonnatrice humanitaire des projets pour Haïti Lada Matyášová.

Donnauters tchèques contribuent aux aliments pour les enfants

« Grâce à notre projet « Adoption à distance » les enfants ont un plat chaud par jour à l’école. Certains d’eux n’ont eu cette possibilité à la maison ni avant l’éclatement des émeutes. C’est pourquoi ils apprécient ça notamment pendant ces jours durs, » explique la coordonnatrice.

C’est la Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc qui soutient l’école et le centre nutritif à Gonaïves. Grâce au soutien de donnateurs tchèques la Caritas aide les Haïtiens à s’accommoder la crise alimentaire. La Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc aide aussi à Baie-de-Henne et à Roche-à-Bateau. Les écoles restent ouvertes et le calme regne dans cettes régions rurales pour le moment.