La soeur Margaret de Gonaïves écrit des nouvelles réjouissantes mais aussi cruelles : « Au début de décembre les écoles ont été ouvertes dans notre région. Néanmoins il y a personne dans les classes excepté les élèves de 7^ième et 8^ième cours. Les parents ont peur de laisser leurs enfants aller dans les rues pleines de gangs armés et d’individus violents. » Ce n’est pas un hasard qu’il y a beaucoup d’émeutes de la rue justement à Gonaïves. Il s’agit de la 2^ième ville la plus grande dans le pays et les gens ici sont mécontents comme ceux à la capitale. C’est qu’ils sentent notablement la manque d’aliments dans les magasins et d’essence et ils se révoltent et prennent la justice en mains. « Néanmoins les lycées sont ouverts et on aussi compte avec les examens semestriels finals à la fin de semestre, » ajoute la soeur Margaret, la directrice de l’école de Saint Joséph et la dirigeante de centre communautaire d’Institut des Oblats. « Notre école est fermée pour ce moment, mais nous esseyerons la reouvre le 7 janvier 2020 comme la majorité de pays. »

« Par contre notre centre nutritif et otrhopédique est littéralement au déboîtement au niveau des coutures, » elle écrit dans le message pour la Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc. « Chaque jeudi 72 mères avec leurs enfants arrivent chez nous au centre nutritif et orthopédique. Ils se réjouissent de fait qu’ils peuvent rester ensemble quelque part et se sentir à l’abri notamment quand il s’agit d’une de ce peu d’activités lesquelles sont accessibles au temp de la crise et en plus utile pour eux. » Dans ce centre les mères obtiennent une portion de repas par jour et leurs enfants obtiennent du lait ou de la demi-portion de repas (selon l’âge). Comme ça au moins quelque soin des citoyens les plus jeunes et leurs gardiens est assuré dans le pays où  le système social ne fonctionne pas.

Le centre à coudre, lequel a été fondé par la Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc en 2018 grâce à l‘équipement de conteneur, toujours prospére. « Dans la classe des novices, » constate Margaret, « il y a 12 mères, lesquelles tout d’abord apprennent à coudre aux machines à coudre. Dans la classe des avancés il y a même 15 couturières, lesquelles ont obtenu leurs diplômes déjà et maintenant elle seulement attendent quand le temps favorable à trouver un emploi dans la usine textile pas trop éloignée arrivera. »

Et entre tout ça, tout le centre, ses habitants et aussi ses visiteurs se préparent pour les fêtes arrivantes. Le Noël c’est une fête de la tranquilité, de la paix et du repos. Les gens à cette île caraïbe le fêtent pendant ces jours comme nous. Malgré le fait que la situation locale n’est pas mieux qu’avant quelques semaines, ils voudraient fêter l’arrivée de Jésus le meilleur possible. Ils lavent du linge, font le ménage, arrangent leurs cheveux. En tant que les cadeaux ils empaquetent les légumes et les fruits du jardin ou les petits produits faits à la main. Il n’est pas important d’obtenir les grands cadeaux, mais d’être ensemble en vie et en bonne santé.

Samedi le 14 décembre la petite célébration a été préparée au centre nutritif et orthopédique pour les mères avec leurs enfants qui le visitent. Lundi prochain la soirée sociale pour les employés du centre a suivi. Les couturières et leurs enseignantes ont fêté l’arrivée de Jésus deux jours après, quand elles ont préparé aux autres l’exhibition de leur travail. Les élèves de 7^ième et 8^ième cours ont fêté ensemble le Noël jeudi le 19 décembre et leurs professeurs le jour suivant. Par ce les activités de centre sont fermées pour cette année. Le centre sera reouvert pour le public mardi le 7 janvier 2020 au temps du commencement de l’année scolaire.

Nous souhaitons le Noël paisible et plein d’amour aux tous nos partenaires en Haïti, tous les parents adoptifs, tout les amis et les gens de bonne volonté qui pensent aux haïtiens et les envoient leurs prières.

Lada Matyášová, la Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc