Le 19 Mars 2020 deux premiers occurences de l’infection du virus Covid-19 ont été confirmés en Haïti. Aujourd’hui, le 31 Mars 2020, 14 contaminés sont identifiés. En réaction le président d’Haïti a proclamé l’état d’urgence et la fermeture des écoles, des usines et des institutions religieuses. En plus il a ordonné l’interdiction de la sortie et du rassemblement. Le gouvernement a aussi fermé les frontières et annoncé la suspension du transport aérien de et aussi à la majorité des autres pays. Il est vrai que la proclamation de l’état d’urgence au niveu national était le pas nécessaire, mais elle doit être renforcée par les mesures pour le personnel médical et pour les pauvres. Pour ça on toujours attend.

D’après l‘étude de l’année 2019 de consortium pour la rechcerche et l’éducation pour le soin actuel en Haïti (REACH) seulement 124 lits d’hôpital adaptés à l’isolation des malades et 64 ventilateurs sont aux ordres de la population plus grande que 11 millions. Ce fait vraiment éveille l’inquiétude, notamment par rapport au relativement grand part de la population avec le risque de l’infection augmenté. Le système du soin médical en Haïti est très dépendant d’acteurs privés y compris l’aide étrangère et les organisations non gouvernementales. Depuis 2013 64% du budget de la santé publique vient de l’aide internationale. Dans beaucoup de parties du pays seulement les entités privées assurent l’accès au soin médical.

Il est aussi probable que la crise de longue durée approfondira la situation déjà fragile dans le domaine de la sécurité des aliments dans la majorité du pays. Beaucoup des enfants se fient aux programmes d’alimentation scolaires qui sont souvent financés par les organisations internationales. L’aide internationale sera clée pour les assurences du fait que le gouvernement et les autres entités seront capables de réagir à la pandémie qui commence.

La Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc continue avec le soutien des pauvres et des habitants en besoin en Haïti. Le programme « Adoption à distance » toujours marche et bien que les écoles et toutes les autres insitutions publiques soient fermées, on soutient les partnenaires locals à s’occuper des élèves dans le programme adoptif et leur communauté d’après leurs possibilités et considérations. « On essaie de distribuer le repas à tous qui viennent dans notre complexe. Néanmoins c’est difficile. On n’a aucuns moyens de protection, pas de masques, pas de gants pour la propre protection, » dit la soeur Margaret, la directrice d’école St. Emmaus à Gonaïves. On a envoyé plusieurs instructions en Haïti comment coudre des masques lesquels les soeurs peuvent facilement coudre à leurs machines à coudre. Cettes machines ont été envoyées en Haïti dans le conteneur en 2017. Les moyens financiers seront utilisés pour la modération de l’impact de la crise alimentaire et pour l’aide médicale nécessaire dans cette époque difficile. Nous restons en rapports avec nos partenaires en Haïti et nous les soutenons en paroles ou par l’action. La persistance, la résolution et la foi en bonne fin nous relie. 

Vous pouvez trouver plus de la situation actuelle en Haïti sur OCHA Haiti ou Flow monitoring .

Lada Matyášová, Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc

Sources: OCHA Haiti, HaitiLibre, reliefweb.int, migration.iom