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Lidé na Haiti stojí frontu na jídlo

Quelle est la situation actuelle en Haïti?

Le gouvernement haïtien gére la situation avec le coronavirus de manière semblable comme le notre. Il a annoncé l’état d’urgence, les frontières sont fermées et le transport éxterieur des personnes est limité. Les gens ne peuvent pas se regrouper, ils devraient rester à la maison et respecter les mesures de salubrité publique. Ici les exemples des acitivités interdites : la pêche, la chasse ou la pêche du gibier. Dans quelques bidonvilles les plus pauvres il n’est pas possible de garder les distances physiques qui sont obligatoires. Néanmoins ce n’est pas tout le monde qui suit les nouvelles internationales et croit à l’éxistance de coronavirus – d’assassin invisible. C’est pourquoi beaucoup de gens visitent normalement leurs proches parents infectés dans l’isolation aux hôpitaux, ils se regroupent avec les autres gens ou voyagent dans les moyens de transport publiques surchargés. En plus les conducteurs refusent de désinfecter leurs véhicules. La décision du gouvernement pressée a contribué à ce fait car le 15 avril 2020 il a proclamé la victoire sur la lutte contre le coronavirus. Le gouvernement a dû retirer cette décision quand le nombre des contaminés a augmenté . L’état d’urgence a été prolongé jusqu’au 20 mai 2020.

À partir du moitié de mars 2020 six personnes ont succombé au coronavirus, 7 personnes ont été guéris, 214 gens sont mis en quarantine hospitalière et 410 en quarantine domicile. La capitale Port au Prince est frappé le plus. Le gouvernement y nettoie les rues par la pulvérisation de l’eau chlorée. Officiellement il y a trois centres de l’isolation et du soin dans le pays : L’Hôpital à Milot du Sacré-Coeur-de Jésus (près de Cap-Haïtien, au nord-ouest), L’Hôpital de faculté à Mirebelais (au centre) et L’Hôpital Saint Luc de Tabarre (à la capitale Port au Prince). Aussi les hôpitaux privés aux grandes villes s’intégraient à l’aide. Néanmoins malgré le soutien du gouvernement et des organisations internationales médicales il y a toujours une manque des médicaments, du matériel médical et des moyens de protection.

La crise alimentaire en Haïti toujours dure?

Oui. D’après Le Programme Alimentaire Mondial des Nations Unis un million des Haïtiens souffrent de la  faim urgente et quatre milions d’eux ont besoin de l’aide alimentaire. En cas du fait que les gens sont obligés de rester à la maison et de ne pas aller jardinier ou élever du bétail, ils souffrent de la faim. C’est pourquoi les Haïtiens souvent ne respectent pas le règlement de l’interdiction de la sortie pour assurer leur propre gagne-pain.

D’où les gens prennent le repas?

Aux villages et aux régions isolés les sources des substistances restent toujours les mêmes. Les fruits et les légumes des champs locals, des poissons de la mer, des galettes du pain préparés au feu et le commerce d’échange des produits végétals ou animals (les haricots verts, le riz, les chèvres, etc) avec les voisins. Les familles souvent supportent l’une l’autre et elles préparent le repas ensemble pour plusieurs d’elles. Les familles au communauté se changent dans cette activité. Il y a du marché où les femmes de l’endroit habituellement vendent des fruits et des légumes et aussi quelque chose petite des autres aliments et produits. Ensuite il y a un magasin assez grand (c’est possible de l’imaginer comme le petit magasin au notre pays). Il est bien équipé, parce qu’il contient presque tout des aliments aux produits d’entretien. Biensûr dans beaucoup plus petite mesure que de chez nous, mais c’est vraiment bon pour les conditions haïtiennes. Puis il y a un autre petit magasin à côté du terrain de sport devant l’église. Il est construit du conteneur, donc il s’agit plutôt du kiosque. Ici les gens peuvent acheter seulement des boissons (bière, coca-cola) ou des petites friandises. Une femme de l’endroit laquelle le posséde cuisine souvent aussi dehors au foyer des bananes frites ou des autres régals. Elle les aussi vend. On importe des produits particulièrement de Gonaïves (de fait tout d’abord de Porte au Prince à Gonaïves et puis ici). Quand le camion avec des provisions arrive de temps en temps,  il habituellement apprend que les prix des aliments ont augmenté avec la crise qui éleve. Maintenant le grand sac du riz coûte 4 000 HTG (avant une année c’était 450 HTG), le sac du pois 5 500 HTG (avant une année 1 245 HTG) et par exemple la boîte d’hareng 4 500 HTG (avant une année 3 500 HTG).

La situation est pareille aussi au village Roche a Bateau, où il s’agit plutôt de l’échange de voisins que des chaînes alimentaires bien équipées. Cet échange est éventuellement enrichi par les achats au petit magasin à la place de village.

À Gonaïves (qui est le deuxième grande ville en Haïti) où l’infection menace par le contact aves les gens de la capitale aussi que par le mouvement des gens, la situation est différente. Ici les marchés typiques marchent toujours, même si ils sont limités à trois jours par semaine. Quelques magasins de l’endroit fontionnent. Les aliments sont plus chers en moyenne de 30-100% qu’à la même époque  l’année dernière. Les aéroports ne foncionnent pas dans le pays, donc sauf la propre production le pays est légué à l’importation de navire ou de la République Dominicaine. Les prix de matières premières augmentent rapidement. Le gouvernement et le programme FAES supporte environ 150 restaurants locals, où le repas préparé est sous les mesures hygiéniques strictes et il les vend aux habitants les plus pauvres et vulnérables pour 10 HTG (env. 2,50 de couronne tchèque). Il aussi distribue les allocations des aliments séchés. Les soeurs de notre organisation de partenaires à Gonaïves distribuent le repas de leurs dépôt directement dans leur complexe aux gens les plus en besoin.

Est-ce que les gens ont assez du savon, de la désinfection et des moyens de protection?

Le gouvernement avec les compagnies technologiques locales ont assuré la distribution du savon et de la désinfection à 500 000 USD. Ils sont allés aux mains des gens des régions frappés environs la capitale, mais aussi aux régions isolés. Dans les médias il y a des programmes d’enseignement du bon lavage des mains. Quand les gens s’épuisent du savon, ils utilisent le vinaigre.

Si les écoles sont fermées ce qui arrive à l’argent pour ce semestre scolaire?

L’argent pour les enfants adoptifs de ce semestre demeure chez nos partenaires. Sa partie la plus grande est donnée à l’achat du repas, du matériel hygiénique et désinfectant dans la lutte contre la crise de coronavirus mais aussi alimentaire. En plus tous les enseignants sont payés de cet argent. La part économisée sera transformée à l’autre semestre scolaire.

Et quoi de l’année scolaire si les écoles sont fermées?

Le gouvernement a décidé que les élèves des premières, deuxièmes et troisièmes années avanceront aux années supérieures automatiquement l’année prochaine. La décision concernant des élèves plus âgés n’est pas encore tombée. Les épreuves finales aux écoles primaires et secondaires seront probablement ajournées.

Et quelle est la situation des enfants adoptés?

On communique avec les partenaires chaque jour. Pour ce moment on ne sait pas si il y a quelque famille de toutes les 400 classées dans le programme adoptif qui est frappée par le coronavirus. C’est sûre que si j’apprends quelque nouvelle je contacterai immédiatement les parents de l’enfant adoptif et on gérera ensemble cette situation.

Quelle est la situation en Haïti concernant la sécurité?

Malheuresement ni l’infection de coronavirus n’empêche pas Haïtiens de continuer avec les émeutes incessantes. Il est vrai qu’elles ne sont pas d’étendue des demonstrations immenses. Cependant les gens sont toujours enlevés, les magasins sont ravagés et les gangs menacent les individus et controlent les rues de grandes villes. La violence représente le moyen par lequel les Haïtiens gérent leur misère et la pauvreté. La pauvreté n’est pas encore vaincue malgré l’époque d’aujourd’hui qui est charactérisée par la solidarité augmentée et le soutien humain.

Est-ce que je peux faire quelque chose pour les enfants adoptifs?

Dans la situation actuelle on n’a pas trouvé ensemble avec nos partenaires an autre moyen de l’aide qu’envoyer des finances pour les autres supports hygiéniques et sanitaires. Ensuite on peut les supporter à coudre à la main des masques et inciter tous au programme à respecter des mesures de sécurité. Tout ça avec le soutien de la solution de la crise alimentaire par l’achat des aliments par les partenaires en Haïti et aussi leur distribution parmi les enfants du programme. Si vous voulez aider, vous pouvez envoyer une somme n’importe laquelle à notre compte 43-9935450227/0100 avec le symbole variable 99999. Moi, j’assurai leur transformation en Haïti.  

Je serai aussi heureuse si vous envoyez des mots du soutien pour nos enfants haïtiens aussi que pour leurs parents, familles et apprenants. Je me rends compte que le contact pendant l’année dernière était minimale et ça me tracasse. Néanmoins ce n’est pas dans mes forces de servir d’intermédiare pour le contact avec tous les quatre cents enfants du pays avec le mouvement des habitants limité. Ce que je peux c’est de donner ensemble tous vos mots du soutien, vos souhaits aussi que prières et les envoyer aux nos partenaires. En échange j’esseyerai obtenir quelques lignes d’eux pour vous (même si c’est difficilement possible maintenant). Vous pouvez envoyer tous les mots du remerciement, soutien et de la solidarité ou seulement des souhaits de la bonne santé à mon courriel: lada.matyasova@acho.charita.cz.

Lada Matyášová, Caritas de l’Archidiocèse d’Olomouc